TAYLOR ISA ”

« Les seuls beaux yeux sont ceux qui vous regardent avec tendresse »

MA PRÉSENTATION feat. Kristen Bell

JE SUIS CE QUE JE SUIS • Age : A vu de nez 18, a vu de siècle; ça ne va pas jusque là : 57 ans en réalité. • Date de naissance :27 Août 1953 • Groupe : Ghost • Clan : clan Diurnoar • Etude : Journalisme • Où vis-tu : CE QUI FAIT QUE JE SUIS MOI ________ ♦ Behind the screen ♦ • Prénom / Surnom : • Age :Stauffy • Comment as-tu découvert CYD ? Sur les partenaires d'un autre forum, me rappelle plus lequel :/ • Fréquence de connexion : 7/7 ( pour les sujets put-être moins souvent, car desfois je n'ai pa beaucoup de temps à diposition. ) • T'aimes tu ça les raviolis ? « Yes ! I like that .. RAVIOLI ! »

♦ Aux origines ♦

__________• Raconte moi ton histoire..

• Je suis née dans une famille prestigieuse, jeune fille de bonne famille me direz vous, et oui vous avec raison. Mais croyez moi je n'y peux stristement rien , si j'avais eu à choisir, jamais au grand jamais je n'aurais choisi l'option d'avoir des moyens disproportionnés.Parlons en tiens de cette famille, mon père est diplomate, je ne sais pas exactement ce qu'il fait dans la vie à vrai dire je n'en ai pas grand chose à faire. Comme je disais, mon père étant diplomate je ne le vis que très peu durant toutes mon enfance, oui vous avez raison c'est triste d'un certain sene, mais je m'en portait pas plus mal. Ma mère quant à elle était traductrice pour de grandes entreprises, certes je voyais ma mère bien plus souvent que mon père, mais nos liens relationnels n'ont jamais été très prononcés. Oui, ma mère m'aimait sûrement (dans le fond), le problème c'est qu'elle nâ jamais su le montrer, aussi loin que je me souvienne pas une seule fois ma mère m'a dit : " Je t'aime Isa", ce que je regrette amèrement à présent.
  
  Etant fille unique et ne m'entendant pas merveilleusement bien avec mes parents, je me suis toujours sentie mise à part, comme une pièce en trop dans un tableau déjà trop parfait.(Attention à qui touche à la perfection.) Je n'étais simplement pas à ma place, je n'avais rien à faire dans ce monde, ce monde n'était pas un monde, ou pour dire plus justement, ce monde n'était pas le mien.
  Malgré les tensions familiales, les remarques désagréables de mes parents: " Isa ne fait pas ça, Isa c'est des gens importants comporte toi bien, Isa tu vois pas que tu nous dérange, Isa débrouilles toi toute seule et j'en passe..", je grandis dans l'obéissance la plus totale, je m'éfforçai tant bien que mal de marcher droit, de marcher juste, de ne pas faire un faux pas en m'éloignant de la route qui avait déjà été toute tracée pour moi.A l'école je n'avais pas beaucoup d'amis, vous savez quand on est riche l'amitié, la vraie, n'existe pas. Et un jour j'entrai au lycée. Le lycée, génial c'est grand, génial c'est magnifique, génial je ne suis pas la seule riche, car oui, entre nous un lycée c'est grand, des riches il y'en avait. Je commençai petit à petit à me faire des amis, enfin c'est ce que je croyais. On faisait les 400 coups, autant dire que je n'étais plus l'obéissante et sage petite fille Taylor que j'avais été dans le passé, j'avais grandi, j'avais changé, et surtout.. j'avais rencontré des gens que j'aurais peut-être du ne jamais rencontrer.Mes parents ne me supportaient plus, je ne faisais rien , je ne travaillais pas, je n'allais jamais en cours, oui parce-que de toute façon j'aurais été tellement fatiguée qu'il valait mieux ne pas y aller. Pourquoi fatiguée ? Chaque soir, du lundi au dimanche, du dimanche au samedi, je m'enfuiais par la fenêtre de ma chambre et j'allais faire la noce avec mes "amis" jusqu'à point d'heure. En y repensant j'en aurais passées moi.. des heures dehors...
  
  Je me méfiais de mes parents, ils tentaient par tous les moyens de me faire recouvrer la raison, mais moi.. je ne voulais pas la recouvrer j'étais très bien dans ce monde, dans mon monde. Je me méfiais si bien d'eux que je commençai à les haïr, les haïr de ne pas m'avoir offert toute la tendresse et tout l'amour qu'avaient reçus tous les autres enfants du quartier. C'était le cas de le dire: Je leur en voulais sec. Après les sorties en douces, ça devint le temps des fugues, oh, c'était jamais bien méchant, je revenais toujours, même que desfois je revenais même à l'heure du dîner, mais bon ma mère n'a pas du le prendre comme ça, mes fugues fréquentes l'ont fait sombrer dans une dépression profonde, et vous savez ce que c'était le pire ?.. C'était que ça ne me faisait ni chaud ni froid.
  
  Et puis un jour, une phrase qui tomba comme une condamnation : "Isa tu deviens ingérable, ta mère et moi n'en pouvons plus, tu nous détruis, on en a longuement parlé et nous avons pris une décision commune, dans quelques mois si rien ne s'arrange nous t'enverrons en pensionnat!! ". En pensionnat ? Non, mais non, mais non!!! Il en était hors de question, je previns mes "amis" de ne plus m'appeler prétextant que j'étais clouée au lit, au moins je ne serai pas tentée de sortir. Et puis les jours passèrent, je faintais, je faissais croire à mes très chèrs géniteurs que leur décision pouvait inffluencer le caractère de leur fille, mais c'était loin d'être le cas. Je bouillais de l'intérieur,si seulement mes parents l'avaient su, si seulement ils avaient su ce que j'allais leur préparer.
  
  Et voilà, 3 heures 30 du matin, lundi 27 Décembre 1971, 18 ans à peine me voilà sur la grande route. J'étais bel et bien partie cette fois, sans rien dire à mes parents (de toute façon j'étais majeure, ils n'avaient pas grand chose à dire), sac à dos fixé au dos, je partais en quête d'aventure, la vie, la vraie vie quoi. Mais le problème.. c'est qu'il en fût tout autrement.
  
  Je marchai, je marchai à n'en plus voir de fin, je marchai dans le noir, pendant des jours, dans le froid, mais j'étais bien.. au début.. je me sentais enfin libre. Mais ça, ça n'a pas duré.. vous savez quand il fait froid, quand on a pas de métier en poche, pas d'argent, quand on a faim.. il ne nous reste pas beaucoup de solutions. Et puis je me décidai: je voulais rentrer chez moi et me rattraper, essayer de construire quelque chose avec mes parents, après tout, tout le monde à le droit à une seconde chance..Je rentrais, sourrir au lèvres et des projets pleins la tête. Bus, marche, marche, train, bus, train, métro...
  
  Métro ? Métro de satan, la vie en avait décidé différemment pour moi, à peine je sortis du métro (n°3 si vous voulez savoir), je me fis agressée par deux hommes cagoulées. Il faisait noir, il faisait froid, ils me faisaient peur et par dessus tout il me faisaient mal, mal à en pleurer, mal à en mourrir..Ils me souillèrent, m'enlevèrent tout, mon honneur, ma fierté, ma motivation, mon courage et par dessus tout ma joie de vivre.. C'était trop dûr, j'avais trop honte.. je me mis dans un coin du métro, en boule, serrant mes jambes contre mon corps.. j'avais froid, j'avais mal, les larmes coulaients, je ne saurais vous dire combien de litres j'ai versé ce jour là, de larmes.. et de sang. Je ne sais pas combien de temps je suis restée conscients, très vite je me laissai aller à un sommeil éternel, sommeil apaiseur et revigorant, c'était trop dûr, et je me laissai mourrir...Je me réveillai ici.. à Marigold'Way et bien que je pensais pouvoir oublier ce qu'il s'était passé.. rien ne s'oublie et la rancune s'accentue.
  
  Ici à Marigold'Way je me sens comme dans une deusième famille, la famille que je n'ai jamais eu, que j'aurais peut-être pu avoir mais pour qui la vie ne m'aura pas laissé assez de temps. Tout le monde me soutient dans cette épreuve difficile, et malgré que je reste très réservée je leur en suis reconnaissante. Ah et j'allais oublier.. il y a un garçon ici, il s'appelle Eddie, je l'ai ramassé un soir dans la forêt d'à côté, il était perdu le pauvre il ne savait pas ce qu'il se passait et j'ai même pas été capable de lui expliquer.. c'était bizarre, mon coeur ne battait pas, il ne bat plus mais j'ai l'impression d'avoir des papillons dans le ventre à chaque fois que je le vois, je pensais pas qu'on pouvait être malade dans la mort également, au moins vous serez prévenu vous n'êtes jamais à l'abris d'un virus.
  

__________• & Toi, t'es qui au fond de toi ?

• Au fond de moi ? Je sais pas exactement, parce-qu'en réalité il y a eu beaucoup de moi différentes.. Il y a eu Isa la fille obéissante, sage et aimante.. Comme il y a eu Isa la rebelle, intenable, ingérable, et qui avait un don pour l'auto-destruction. Aujourd'hui pour être sincère c'est comme une double personnalité, elles sont les deux là.. Attendez je vous explique, je vais vous décrire deux caractère totalement différent, ils ne sont pas eronés pour autant, tout dépend du moment auquel vous me croisez.
  Je suis calme et sereine, je vois la vie d'un côté objectif, un peu dans le genre "tout le monde est beau, tout le monde est gentil".Je ne m'ennèrve que rarement et il faut chercher loin pour m'entendre crier. J'ai de l'ambition, envie de réussir, je travaille énormément pour arriver à mes fins, oui en effet, plutôt bonne élève, je n'ai que très rarement des nots inférieure à la moyenne. Joviale et sociable, je souris tout le temps et j'ai une joie de vie débordante qui est très communicative. Très, très bavarde, ous ne serez jamais en manque de conversation avec moi, je peux parler pendant des heures et des heures sans jamais être à court de sujet de conversation, au moins vous n'aurez pas à vous fatiguer.Généreuse et partageuse, je donne beaucoup plus que je n'en attends et ne dirai jamais non à une personne qui me demande quelque chose. Gourmande, oui gourmande, vous voyez ? le type de fille qui craque pour un pot de nutella à la petite cuillère..Très émotive et très sensible je pleure facilement. Je suis loyale et fidèle, et pardonne tout,chaque erreur, chaque faux pas, c'est ce qu'on appelle naïveté en gros.
  Mais prenez garde, il y a l'autre Isa qui elle, est beaucoup moins sympathique. Je sui comme un vieux loup, très très solitaire, ne supporte la compagnie qu'en très petite quantité et de qualité. Rancunies, avec moi c'est oeil pour oeil et dent pour dent.Très franche et directe, je n'ai pas peur de dire ce que je pense, quitte à blesser profondément quelqu'un, cela ne me fait ni chaud ni froid. J'aime bien abborder les sujets qui sont sensibles, là ou ça fait mal, car j'en veux au monde entier pour ce qu'on m'a fait subir. Avare je ne prêterai jamais rien à personne, et si t'insistes tu risques de te retrouver avc mon poing dans la figure. Bagareuse et tumultueuse, j'aime bien fumer, jouer à la dûre, et me faire respecter, c'est comme ça j'aime me démarquer. Je suis hautaine, froide et sournoise, ce qui ne donne pas toujours envie de m'approcher. Enfaite en y rfléchissant bien j'ai le coeur déchiré en mille morceaux d'une souffrance inégalabe, mais ça, je serai toujours beaucoup trop fière pour l'avouer.
  Les gens ici me trouveront bizzarre la plupart du temps, un jour j'adore, le lendemain je détèste, lunatique avec moi c'est unjeu de pile ou face, ou t'as de la chance et tu gagnes, ou alors tu perds.
  
  Pour les habits tout dépend de l'humeur, du grung au très classique, des jupes sexy , aux longs baggys noir à ceinture et à clous, c'est un jeu de lotterie des humeurs pour la garde robe.
  
  J'ai une grande passion pour la musique, pour le piano et le chant plus particulièrement, c'est bien la seule chose positive que m'ait transmise ma mère. J'étais douée, j'étais au conservatoire, je passais touts mes examens en finissant prmière de classe, je jouais dans un grand orchestre où j'étais la seule enfant. Non vraiment, si il y a une chose que je peux dire savoir faire aujourdhui, c'est jouer du piano. Ca me libère, ca me passione, les sons montent et descendent dans ma tête, je ferme les yeux,et les notes me parlent, ells raccontent tantôt ma vie, tantôt la tienne, tantôt la leur, c'est ça .. c'est mon monde et je m'envole et personne n'est apte à me sortir de ce mondedans lequel me plonge le doux son du piano à queue. Pour le chant, comme je le disais au début c'est grâce à ma mère, à l'âge de 3 ans, elle m'amena dans une chorale, maman-bébé ça s'appelait, c'était bien ça m'a plus, et j'ai jamais arrêter depuis, dans ma vie comme dans ma mort, autant dire que ça fait plutôt longtemps. Dans ma vie j'ai fat beaucoup de type de chant différent chorale maman-bébé de 3à4 ans puis, ma mère en avait marre. Je continuai dans une chorale pour enfant de 4à8 ans, décrochant des petits solos de temps en temps. Puis, à 8 ans je commençai la comédie musicale, alors ça c'était grandise, une combinaison de chant de textes et de théâtre, ça me plaisait beaucup j'en ai fait jusqu'à 14 ans. Puis je suis entrée au lycée, malgré la route que j'ai sivie, je continuai d'avoir les rôles principaux dans les pièces de l'école, ma voix.. ils aimaient bien ma voix. De 14 à 18 ans je m'ouvris une porte que je n'aurais jamais cru avoir la possibilité d'ouvrir, je rentrai dans le monde de l'opéra.. l'opéra tel qu'on le connait, pur et limpide, fort et doux, et tout ça en même temps. La personne qui voudra vraiment brisée ma carapace, un conseil : parlez moi en musique.
  

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