STEPHANE HAILEE STEEL ”

« life doesn't have to be so complicated. neither does sex. (juno temple in kaboom) »

MA PRÉSENTATION feat. Cory Kennedy

JE SUIS CE QUE JE SUIS • Age : 16 piges. • Date de naissance : 25 mars 1994. • Groupe : Humans. • Clan : Neutre. • Métier : Lycéenne. • Où vis-tu : Avec Maman et Maman dans un minuscule appartement. CE QUI FAIT QUE JE SUIS MOI ________ Behind the screen • Prénom / Surnom : Lou. • Age : 16 piges. • Comment as-tu découvert CYD ? par acide édulcoré, je clique beaucoup. à un moment y a le forum qui s'est ouvert (ouais, tout seul :D) dans un nouvel onglet. j'ai regardé et paf, j'me suis dis pourquoi pas • Fréquence de connexion : ça dépend du lycée (première s oblige, je dois bosser.) • T'aimes tu ça les raviolis ? CODE BON[/color]

Aux origines

__________• Raconte moi ton histoire...

• 25 mars 1994 ▬ naissance à las vegas ;
  6 octobre 1996 ▬ première adoption par un couple américain domicilié à new-york ;
  25 mars 1997 ▬ retour à l'orphelinat de vegas ;
  septembre 1999 ▬ première rentrée des classes ;
  juillet/aout 2003 ▬ adoption par un couple lesbien asiatique et déménagement pour Marigold's Way ;
  7 avril 2009 ▬ première morsure par un vampire ;
  été 2009 ▬ perte de contact avec Louis - elle pensera qu'il est mort ;
  septembre 2010 ▬ rentrée en première à Marigold'Way ;
  
  

  
  by Rorore

  
  7 juillet 1993, Las Vegas. Juliet et Simon se présentèrent devant l'autel, juste après Mary et John, juste avant Loreene et Sebastian. Ils avaient respectivement bu un et trois pintes de bière, douze et vingt-deux verres de vodka, une et zéro vodka-coca, seize et quatorze shot d'alcool de riz chinois, deux et trois bouteilles de Despe, huit et sept cocktails, et j'en passe et des meilleurs. Ils venaient de partager un splif long comme deux, et ce n'étaient pas le premier de la soirée. Elle était vêtue d'une mini-robe blanche tachée et de chaussure à hauts talons dorés, et tenait à la main un cercle d'acier inoxydable trouvé par terre. Il portait un bermuda à fleurs et une chemise blanche prêtée par un gars de la sécu portés sur des chaussures de costard noires, et avait dans sa poche un rond doré gravé de petites fleurs. Le père Ferdinand, de sa voix monotone, récita le texte sacré, ils répondirent chacun leur tour "je le veux", échangèrent un langoureux baiser plein de bave, se passèrent la bague au doigt, et c'était fait. Le lendemain, Simon's gamète était entrée into Juliet's one, et Stephane était en cours de création.
  Sauf que ça, personne ne le savait.
  
  25 mars 1994, Las Vegas. Juliet va accouché sous X. Elle a recherché l'homme avec qui elle s'est marié, l'a informé de sa grossesse il y a de cela plusieurs mois. En fait, quand elle l'a apprit, c'est la première chose qu'elle ait faite. Bien qu'elle n'ait dès le départ aucun état d'âme face à cette enfant résultant des folies d'une soirée, il fallait bien mettre au courant le père et prendre en compte son avis. Mais Simon n'avait pas plus envie qu'elle de s'occuper d'un enfant. Trop jeunes, d'abord. En plus, ils ne se souvenaient même plus de leur nuit d'amour, à part par flashs.
  Les jeunes mariés, qui n'avaient pas pris la peine de divorcer, restèrent en contact durant les six mois restant de la grossesse et l'histoire les quitte à ce moment là. Si ça se trouve, ils sont tombés amoureux. Peut-être sont-ils plutôt reparti chacun de leur côté. Mais nous, nous allons suivre ce tout petit bébé qui n'a pas de nom, pas de parents, rien qu'une armée de nourrices à ses côtés.
  
  6 octobre 1996, Las Vegas. « voila, madame Cornwell, monsieur Cornwell. il suffit que vous apposiez vos signatures au bas de cette page, là, et là, et là... pour finaliser l'adoption de Stephane. » Les époux échangèrent un regard brillant d'émotion. Depuis qu'ils s'étaient fait à l'idée qu'ils ne pourraient pas avoir d'enfants naturellement puisque Catherine était stérile, il s'agissait de la troisième enfant qu'ils adoptaient. Les deux précédents s'étaient révélés être des échecs. Le premier n'était pas parvenu à s'intégrer au sein de la famille ultra classique dont les Cornwell faisaient parti, la seconde avait révélé des troubles de la psychologie forts la rendant impossible à vivre. Il fallait que Stephane soit la bonne.
  Malheureusement pour eux, la jeune enfant ne plut guère au sein de leur famille, et le sentiment était réciproque.
  
  

  
  by Rorore

  
  25 mars 1997, Las Vegas. « je... nous sommes sincèrement désolée. ce n'est plus possible ainsi. stephane passe son temps à tout faire pour que notre famille la haïsse plus qu'ils ne le font déjà. et voila qu'alors que nous les avons forcés à venir pour son anniversaire, elle arrive maquillée comme un monstre digne d'un film d'horreur, vêtue d'un tutu sale et déchiré, et qu'elle se jette sur les enfants ! non, vraiment, ça ne peut plus continuer ainsi. » « ... ne vous inquiétez pas madame Cornwell, nous comprenons votre désarroi. voila, signez ici et ce sera fini. ne vous inquiétez pas pour elle, un jour elle trouvera sa famille. depuis que je suis à la tête de cet orphelinat, j'en ai vu passer, des têtes blondes invivables. toutes ont fini par trouver les parents qu'il leur fallait. quand à vous, je suis certaine que vous trouverez un enfant que vous pourrez aimer et qui vous aimera en retour. ne vous inquiétez pas. »
  Du haut de ses trois ans, Stephane assista à ce dialogue un sourire sur les lèvres. Elle tenait entre ses mains son doudou, un vieux ours en peluche déchiré. Sur son oreille droite, elle avait dessiné une croix pour chaque mauvais coup réussi qu'elle avait fait eux enfants de cette horrible famille qui s'habillait toujours en blanc ou en rose ou en bleu. Dégueulasse.
  Vous saviez pas qu'on pouvait être gothique à trois ans ? Maintenant, c'est fait.
  
  10 septembre 1999, Las Vegas. Cela fait à peine une semaine que Stephane est entré à l'école, et déjà elle s'y plait. On ne va s'amuser à lui inventer une histoire : elle n'est pas populaire, n'a pas énormément d'amis, et est considéré comme beaucoup comme bizarre. Les autres la traitent juste de garçon manqué. En effet, elle a beaucoup plus d'affinités avec les garçons et leurs jeux de combat qu'avec les filles et leurs poupées aux yeux doux et bleus. En cours, elle se débrouille - facilité naturelle, parce que de son côté, elle n'y porte pas un intérêt majeur. Bref, ainsi va la vie.
  
  été 2003, on the road. Dear Diary. Au début du mois de juillet, mes mères ont finalement signé ce putain de papier. C'est fou comme le fait qu'elles soient lesbiennes a ralenti le processus. Ils mettent habituellement deux jours à me foutre dans les mains d'une famille qui, ils le savent parfaitement, ne me conviendra pas. Et quand je tombe sur ce couple, juste génial, on s'entend bien, on s'adore déjà, ils attendent un mois, compliquent les choses avec leur administration à la noix... Enfin, maintenant c'est fait. Je m'en vais avec Kimiko & Yun. C'est juste parfait. On va habiter dans un petit village sympa, qu'elles connaissent pas encore vraiment. Elles aussi ont besoin d'un nouvel endroit pour redémarrer. Avec moi, cette fois. Je les aime. Ca fait à peine de mois, mais je les considère définitivement comme mes Mamans à moi toute seule.
  
  

  
  by Rorore

  
  25 mars 2004, Marigold's Way. Premier anniversaire avec mes deux mamans. Parfait.
  
  7 avril 2009, Marigold's Way. Main dans la main, Stephane et Louis se baladent dans la forêt de la petite ville de Marigold's Way. Ils sont amoureux, et il n'a plus aucun secret pour elle. Elle, de toute façon, n'a rien à cacher. Du haut de ses cent-soixante-douze ans, Louis n'en parait que seize, et il profite de l'instant présent avec son amoureuse, qui elle, en a quinze. Ils se posent dans la forêt, sur un bout de tissu qui se trouvait dans le panier de la demoiselle. Un sourire sur le visage, elle s'allonge, la tête sur ses genoux, et observe le vent qui joue dans les branches hautes des arbres. Il n'y a rien de plus qu'elle pourrait désirer. Son amant a beau être un dangereux vampire, avoir la capacité de lui sucer le temps en quelques minutes ou de la briser en mille morceaux en lui faisant l'amour, elle n'en changerait pour rien au monde. Lentement, il se penche vers elle. Leurs beaux regards bruns se fixent l'un dans l'autre, se crochètent, et chacun laisse l'autre pénétrer son âme. Délicatement, il embrasse la bouche rosée de l'enfant. Ne peut plus retenir ses crocs. Ses yeux s'illuminent d'un éclat bestial. Elle expire. Il enfonce doucement ses canines dans sa jugulaire, sa main caressant la peau laiteuse de sa joue. Elle murmure « stop... » et il se redresse au dessus d'elle. Les lèvres colorés par le sang de sa bien aimé, Louis lui sourit. « merci... mille mercis, ma Stephane. » Il rétracte ses crocs, ses yeux reprennent leur douceur habituelle, et pendant une minute, les amoureux se regardent dans le blanc des yeux. Sourires.
  
  Amour.
  
  1 septembre 2010, Marigold's Way. Dear Diary. Je n'ai pas eut de nouvelles de Louis de tout l'été. Mais il m'avait dit que c'était une saison avec laquelle il avait du mal. Seulement, nous voila en septembre et je n'ai toujours aucun signe de lui. Des salopards d'illuminés l'ont surement tué. Détruit, puisque tuer ne serait pas le bon mot. Je ressens un énorme vide dans mon cœur, et je n'arrive pas à ressentir quoi que ce soit. C'est comme une anesthésie... de l'intérieur. Bon, cette semaine c'est la rentrée. Youpi.
  

__________• & Toi, t'es qui au fond de toi ?

by Rorore

woman physically fit Au fond, Stephane a un physique tout à fait commun. Elle ne sort pas des standards : taille moyenne - environ un mètre cinquante-sept croissance non finie - brune aux yeux marrons. Cela dit, elle a une chevelure qu'elle maintient dans un état perpétuel de désordre organisé ; elle a un air défoncé qu'elle entretient avec soin (à coup de drogues, nuits blanches ou maquillage, selon les occasions) ; elle a un style particulier et irrégulier (avec une fâcheuse tendance à surprendre par son habilité à changer du tout au tout du jour au lendemain. Elle peut en effet venir en pantalon noir en cuir, perf et Dre Martens, et se ramener le lendemain dans une robe à fleurs pastel accompagné de sandales plates, et décider le surlendemain de porter un legging rose fluo sous une tunique blanche avec une pomme dessus. Simples exemples.) Ainsi, si Steph' marque les esprits, c'est par sa volonté et non par la force des choses (appelez cela hasard ou destin, elle appelle simplement cela la génétique.)

by Rorore

you make me feel De nature assez lunatique, Stephane peut sembler inaccessible au premier abord. Pas adepte de la popularité pour un sou, elle préfèrera toujours peu d'amis, mais des vrais, que tout un tas de connaissances auxquelles elle ne tient pas. Cela ne l'empêche pas, par contre, de faire la fête avec plein de gens qu'elle connait à peine, et de s'amuser follement. Simplement, ce sont des party-friends, pas des amis, ni même des potes (c'est ainsi qu'elle désigne ses amis moins proches). En termes généraux, la brunette est assez joyeuse, limite hystérique. Elle est carrément décalée par rapport à la société, ce qui fait que les gens la considèrent bizarre ; mais en général, ils l'apprécient. Elle n'aime pas voir des personnes malheureuses et si vous retenez son attention pour cela, elle se débattra pour vous redonner le sourire. Parfois à son détriment. Sociable mais solitaire, elle apprécie chaque instant passé seule, les seuls moments où elle se permet des retours à la mélancolie. Elle songe alors aux choses qu'elle fait, qu'elle devrait faire, à ses ressentis... Intelligente, elle a tendance à analyser le moindre de ses sentiments avec une précision parfois trop extrême. Cela dit, dès que la compagnie est de retour, elle peut agir de manière opposée à ce qu'elle avait jugé correct en théorie. Steph', en fait, est faite de contradictions. Seule constante : elle supporte assez mal le silence, mais aussi le brouhaha intensif (qui lui donne mal à la tête).

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